Le jeu se veut dans un univers contemporain, mais post apocalyptique, où un virus transforme les humains en monstres sanguinaires…
Après les météorites, l’accident de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine, les émeutes, la création du mur de la honte, et l’abandon progressif des survivants derrière le mur, la vie s’organisa dans la ‘zone’
Le virus frappa alors...
Après une semaine de prolifération aucun civil français n’eut connaissance de l’existence de ce virus. « Grâce » à un black-out total sur la zone ainsi que l’interdiction de survol, l’armée, et plus exactement à l’XPR, put maintenir cette information secrète.Des bruits alors commencèrent à circuler dans les dispensaires proches de la zone du patient zéro: épidémie de grippe A, aggravée par les privations dans la zone, le manque de médicaments, de nourriture convenable...
Comment cela s’est-il produit ? Pourquoi personne n’a été alerté plus tôt ? Qui sont les premiers contaminés ? Qu'est-ce qui en est responsable ? Nul ne peut répondre encore aujourd'hui.
Face aux cas qui se multiplièrent à Aincourt, l’IVS accompagnée de militaires fut dépêchée sur place pour enquêter sur les quelques cas recensés. « Rien de très dangereux » avait annoncé le Colonel de l’XPR déjà présent sur site. Pourtant malgré les entraves manifestes des militaires, l’IVS réussit on ne sait comment à mettre la main sur des patients atteints du virus. Ils purent diagnostiquer au contraire une maladie hautement contagieuse, décrite comme mortelle et particulièrement foudroyante, composée de fortes fièvres, de raideurs et crampes, de difficultés à regarder la lumière, de vomissements, de difficultés à articuler des mots, puis d'hémorragie interne et enfin d'arrêt cardiaque. En effet, tous les patients infectés seraient systématiquement morts dans les 4 à 12h. Les membres de l’IVS firent donc leurs rapports. Quelle ne fut pas leur surprise, d'être évacués 6 heures plus tard par le “colonel” ,la zone étant apparemment « le siège de combats»... (Non sans avoir appris que plusieurs “morts” du virus s'étaient relevés et attaqués à des membres des services médicaux, contaminés à leurs tour.)
On ne sut rien de ce qui provoqua le crash de l’hélico, des évacués ni le lieu exact du crash.
Suite à cet incident, aucune information ne filtra sur le virus, et encore moins sur le fait que les patients décédaient dans d’atroces souffrances, pour ensuite se relever et mordre, voir dévorer les gens autour d’eux. Quant aux quelques journalistes encore dans la zone, certains furent évacués par une armée particulièrement zélée, d'autres furent victimes des bandes armées écumant la zone...La panique commença à s'installer, les civils essayant de quitter la zone furent refoulés, on parla même de tir à vue par les militaires...
Il ne restait plus aux civils qu’à essayer de rejoindre le seul îlot de relative sécurité “Aincourt”: Une zone où il était question d'une campagne de vaccination (contre quoi ils n’en étaient pas sûr, peut être contre le virus...)
Le maire et son personnel, aussi bien milice que médecins, commencèrent à publier des affiches de conduites à tenir pour se protéger du virus.
Le 3 septembre, des témoins relatèrent une nuit d’horreur, les morts qui se relevaient pour attaquer les vivants, les militaires tirant sur tout ce qui bougeait, vivant comme mort...Puis ce fut la catastrophe que tout le monde connait. Une équipe tv était présente à aincourt son film récemment diffusé, montra la vérité, l’odieuse vérité...La destruction de l'hôpital d’Aincourt, la disparition du colonel et de ses hommes, la contamination dans et hors de la zone, fut certes jugulée mais non éradiquée à l’extérieur de la zone.
A l'intérieur ce fut une autre histoire. Les survivants durent s’adapter. Même si l’armée envoya des renforts, ils ne furent pas les bienvenus, après les révélations, sur leur responsabilité face au virus. Encore une fois la zone du se débrouiller seule. Beaucoup périrent, rien ne semblant arrêter le virus. Toute personne au teint blafard devint suspecte, on n'osait plus sortir de chez soi, on ne comptait plus les personnes blessées par erreur, ou les héros finissant dévorés. Les témoignages concernant les bavures militaires se multiplièrent( évacuation de force, tabassages, tir sur des civils, camp d’isolations insalubres...) finirent de mettre l’armée au ban de la nouvelle non-société. Ainsi plusieurs villes furent déclarés zones interdites.
Mais le pire était a venir: Pontoise et plusieurs villages proche dont Aincourt, venaient d'être bombardées au lever du jour. Le président se défendit d’avoir donné l’ordre. Ce fut comme un électrochoc pour la population.
L'État fut dépassé, l’arme ne lui obéit plus, la 5 ème République fut dissoute. Un gouvernement transitoire pris les rênes, limogeant bon nombre de généraux, réorganisant l’armée. La police encore stable et fidèle, eu des moyens et des pouvoirs accrus.
Dans la zone, les survivants s’organisèrent: dans un château, dans une école, dans des zones reculées, loin de toute civilisation, tout pour essayer de fuir le fléau et l’armée. Nombre de petites communautés virent alors le jour.
Totalement dépassé et incapable de gérer le probleme, le gouvernement de transition céda aux pressions de l' ONU et de l'UE. En échange de la validation de la résolution 2020, l'Etat français devait s'engager à prendre des milices corporatistes sous contrats. Ces "professionnels" auraient pour mission de régler la crise...l'origine du mal...
Date et lieu du jeu
1 et 2 septembre 2012
Fort de Cognelot 52600 CHALINDREY
GPS : 47.807794,5.405188
Se rendre au Fort
Depuis Grenoble, prendre l'autoroute A40, puis A31 en direction de Dijon
Depuis Paris, prendre l’autoroute A5 en direction de Lyon, puis A31 en direction de Nancy Metz.
Sortir à la sortie Langres n°6.
Ensuite prendre la D428 direction Chalindrey. Apres 8-10 kms, il y a une patte d'oie : à gauche direction Chalindrey, à droite direction Chalindrey (>7.5T).
Prendre à gauche (en direction du relais TDF) puis faire 1-3 kms et à votre droite vous verrez le panneau "Fort de Cognelot/ Vercingétorix".
Inscrivez-vous avec votre vrai prénom et première initiale de Nom, plus facile pour vous identifier. Merci
Participation aux frais
PJ : 55 euros, repas chaud du samedi midi, samedi soir et petit déjeuné le dimanche (et le samedi pour ceux arrivés le vendredi soir)
PNJ : 30 euros, repas chaud du samedi midi, samedi soir et petit déjeuné le dimanche (idem)
Possibilité pour les PnJ de venir dès le mercredi pour aider à la mise en place, et/ ou ’aider au démontage le dimanche (Possibilité de prêt de nerf nous avons 20 lanceurs)
Restauration
Vous devrez amener vos gamelles, couverts et verre pour le jeu (rien de fragile: bois ou métal alimentaire)
Campement
De nombreux groupes auront la possibilité de planter leurs tentes sur leur zone de départ de jeu
Décorum
Les joueurs pourront apporter le décorum lié au back de leur groupe.
Équipement en jeu:
Costume
Post apo période contemporaine
Armes blanches
Armes en latex. Post apo période contemporaine (hache incendie, batte de base ball, marteau, couteau de combat, katana, barre à mine,...)
Armes à feu
Nerf suivant les rôles: maverick, night finder, unit blaster , EX3, reco cs6, deploy, longstrike,
Longshot, raider cs35, barrel... Pensez à les customiser, nous mettrons des tuto en place au besoin
Enfin si vous le souhaitez suivant votre groupe, les armes seront “neuves” ou “réparées”
Inscription à Vaccin bienvenu
Inscription à Vaccin bienvenu à Zombie Land
Résumé de l'épisode précédent
Le jeu se veut dans un univers contemporain, mais post apocalyptique, où un virus transforme les humains en monstres sanguinaires…
Après les météorites, l’accident de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine, les émeutes, la création du mur de la honte, et l’abandon progressif des survivants derrière le mur, la vie s’organisa dans la ‘zone’
Le virus frappa alors...
Après une semaine de prolifération aucun civil français n’eut connaissance de l’existence de ce virus. « Grâce » à un black-out total sur la zone ainsi que l’interdiction de survol, l’armée, et plus exactement à l’XPR, put maintenir cette information secrète.Des bruits alors commencèrent à circuler dans les dispensaires proches de la zone du patient zéro: épidémie de grippe A, aggravée par les privations dans la zone, le manque de médicaments, de nourriture convenable...
Comment cela s’est-il produit ? Pourquoi personne n’a été alerté plus tôt ? Qui sont les premiers contaminés ? Qu'est-ce qui en est responsable ? Nul ne peut répondre encore aujourd'hui.
Face aux cas qui se multiplièrent à Aincourt, l’IVS accompagnée de militaires fut dépêchée sur place pour enquêter sur les quelques cas recensés. « Rien de très dangereux » avait annoncé le Colonel de l’XPR déjà présent sur site. Pourtant malgré les entraves manifestes des militaires, l’IVS réussit on ne sait comment à mettre la main sur des patients atteints du virus. Ils purent diagnostiquer au contraire une maladie hautement contagieuse, décrite comme mortelle et particulièrement foudroyante, composée de fortes fièvres, de raideurs et crampes, de difficultés à regarder la lumière, de vomissements, de difficultés à articuler des mots, puis d'hémorragie interne et enfin d'arrêt cardiaque. En effet, tous les patients infectés seraient systématiquement morts dans les 4 à 12h. Les membres de l’IVS firent donc leurs rapports. Quelle ne fut pas leur surprise, d'être évacués 6 heures plus tard par le “colonel” ,la zone étant apparemment « le siège de combats»... (Non sans avoir appris que plusieurs “morts” du virus s'étaient relevés et attaqués à des membres des services médicaux, contaminés à leurs tour.)
On ne sut rien de ce qui provoqua le crash de l’hélico, des évacués ni le lieu exact du crash.
Suite à cet incident, aucune information ne filtra sur le virus, et encore moins sur le fait que les patients décédaient dans d’atroces souffrances, pour ensuite se relever et mordre, voir dévorer les gens autour d’eux. Quant aux quelques journalistes encore dans la zone, certains furent évacués par une armée particulièrement zélée, d'autres furent victimes des bandes armées écumant la zone...La panique commença à s'installer, les civils essayant de quitter la zone furent refoulés, on parla même de tir à vue par les militaires...
Il ne restait plus aux civils qu’à essayer de rejoindre le seul îlot de relative sécurité “Aincourt”: Une zone où il était question d'une campagne de vaccination (contre quoi ils n’en étaient pas sûr, peut être contre le virus...)
Le maire et son personnel, aussi bien milice que médecins, commencèrent à publier des affiches de conduites à tenir pour se protéger du virus.
Le 3 septembre, des témoins relatèrent une nuit d’horreur, les morts qui se relevaient pour attaquer les vivants, les militaires tirant sur tout ce qui bougeait, vivant comme mort...Puis ce fut la catastrophe que tout le monde connait. Une équipe tv était présente à aincourt son film récemment diffusé, montra la vérité, l’odieuse vérité...La destruction de l'hôpital d’Aincourt, la disparition du colonel et de ses hommes, la contamination dans et hors de la zone, fut certes jugulée mais non éradiquée à l’extérieur de la zone.
A l'intérieur ce fut une autre histoire. Les survivants durent s’adapter. Même si l’armée envoya des renforts, ils ne furent pas les bienvenus, après les révélations, sur leur responsabilité face au virus. Encore une fois la zone du se débrouiller seule. Beaucoup périrent, rien ne semblant arrêter le virus. Toute personne au teint blafard devint suspecte, on n'osait plus sortir de chez soi, on ne comptait plus les personnes blessées par erreur, ou les héros finissant dévorés. Les témoignages concernant les bavures militaires se multiplièrent( évacuation de force, tabassages, tir sur des civils, camp d’isolations insalubres...) finirent de mettre l’armée au ban de la nouvelle non-société. Ainsi plusieurs villes furent déclarés zones interdites.
Mais le pire était a venir: Pontoise et plusieurs villages proche dont Aincourt, venaient d'être bombardées au lever du jour. Le président se défendit d’avoir donné l’ordre. Ce fut comme un électrochoc pour la population.
L'État fut dépassé, l’arme ne lui obéit plus, la 5 ème République fut dissoute. Un gouvernement transitoire pris les rênes, limogeant bon nombre de généraux, réorganisant l’armée. La police encore stable et fidèle, eu des moyens et des pouvoirs accrus.
Dans la zone, les survivants s’organisèrent: dans un château, dans une école, dans des zones reculées, loin de toute civilisation, tout pour essayer de fuir le fléau et l’armée. Nombre de petites communautés virent alors le jour.
Totalement dépassé et incapable de gérer le probleme, le gouvernement de transition céda aux pressions de l' ONU et de l'UE. En échange de la validation de la résolution 2020, l'Etat français devait s'engager à prendre des milices corporatistes sous contrats. Ces "professionnels" auraient pour mission de régler la crise...l'origine du mal...
Date et lieu du jeu
1 et 2 septembre 2012
Fort de Cognelot 52600 CHALINDREY
GPS : 47.807794,5.405188
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Depuis Grenoble, prendre l'autoroute A40, puis A31 en direction de Dijon
Depuis Paris, prendre l’autoroute A5 en direction de Lyon, puis A31 en direction de Nancy Metz.
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PJ : 55 euros, repas chaud du samedi midi, samedi soir et petit déjeuné le dimanche (et le samedi pour ceux arrivés le vendredi soir)
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Possibilité pour les PnJ de venir dès le mercredi pour aider à la mise en place, et/ ou ’aider au démontage le dimanche (Possibilité de prêt de nerf nous avons 20 lanceurs)
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Vous devrez amener vos gamelles, couverts et verre pour le jeu (rien de fragile: bois ou métal alimentaire)
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De nombreux groupes auront la possibilité de planter leurs tentes sur leur zone de départ de jeu
Décorum
Les joueurs pourront apporter le décorum lié au back de leur groupe.
Équipement en jeu:
Costume
Post apo période contemporaine
Armes blanches
Armes en latex. Post apo période contemporaine (hache incendie, batte de base ball, marteau, couteau de combat, katana, barre à mine,...)
Armes à feu
Nerf suivant les rôles: maverick, night finder, unit blaster , EX3, reco cs6, deploy, longstrike,
Longshot, raider cs35, barrel... Pensez à les customiser, nous mettrons des tuto en place au besoin
Enfin si vous le souhaitez suivant votre groupe, les armes seront “neuves” ou “réparées”