Le pendant féminin de Basic Garments for Men. Il n'est plus édité non plus mais avec un peu de chance on peut encore mettre la main dessus.
Malheureusement plus édité, un guide concis mais complet proposant patrons et coutures pour les habits de base des hommes du XIIIe au XVIe siecle. Le livre est organisé par classes sociales. On peut encore le trouver d'occasion ou dans certains lieux culturels tels quelques musées. Celui que j'ai pu consulté avait été acheté dans un musée en Angleterre.
Comportant plus d’un millier de reproductions en couleurs, cet ouvrage présente l’histoire du costume occidental de l’antiquité égyptienne jusqu’aux dernières tendances de la mode occidentale. Fresque incomparable retraçant 4000 ans d’histoire, il nous fait découvrir l’étonnante variété des solutions adoptées pour embellir la silhouette humaine, de la relative simplicité du monde antique en passant par les raffinements des distinctions sociales au Moyen Age et la richesse exotique de la Renaissance.
La dernière partie du livre, consacrée à notre époque, souligne l’éclatante diversité de la mode du XXe siècle. Les minutieux dessins en couleurs de John Peacock sont le résultat de longues recherches fondées sur l’étude de tableaux, de photographies et de costumes réels. Répartis en chapitres chronologiques, ils sont accompagnés de notices détaillées décrivant chaque modèle adopté au cours des siècles, présenté en termes de tissu, de coupe, de motifs et de couleurs. Un glossaire illustré permet en outre de se familiariser avec le vocabulaire technique.
De ce vaste panorama ressortent non seulement les caractéristiques propres à chaque nation, mais également les distinctions sociales : jeunes et vieux, riches et pauvres, campagnards et citadins, princes et roturiers. Véritable encyclopédie du vêtement, Le Costume occidental de l’Antiquité à la fin du XXe siècle est un grand livre de référence indispensable à tous les passionnés de mode et de costume ainsi qu’aux historiens, aux étudiants et à tous ceux qui travaillent dans le monde du spectacle.
Les lames fines sont ma spécialité. Je ne suis pas le seul bien sûr, comprenons-nous bien, je veux juste dire que c'est ce que je préfère fabriquer. C'est ce qui m'a conduit à utiliser du carbone et du profilé de planche à voile (voir l'article sur les armatures d'armes de GN, on ne va pas revenir dessus). Du coup, j'en suis venu à tester des solutions assez extrêmes. Je vous présente ici les meilleures.