Redécouvrez les épices rapportées des croisades, le serpolet, le poivre, la cannelle, le gingembre, le miel, le vinaigre balsamique... dans des recettes simples qui donnent l'eau à la bouche.

Sans prétendre être un ouvrage d'historien, de professeur en botanique ou de maître queux étoilé, tout en s'appuyant toutefois sur les documentations les plus sérieuses, ce livre est une invitation à la promenade dans un jardin médiéval.
Panier au bras, venez cueillir légumes anciens, aromates parfumés et herbes magiques afin de mitonner en cuisine " force mets délicieux " comme à l'époque (ou presque) sur les conseils éclairés de messire Taillevent, de quelques cuisiniers belges ou anglais, ou encore d'un Bourgeois de Paris fort savant, sans oublier les vérités et principes de la chère Hildegarde de Bingen.

Le roi René, comte de Provence, a laissé la réputation d'un souverain bon vivant, frivole, épicurien et gourmand. La cuisine, à la cour de ce roi était une cuisine riche mais plus raffinée que celle de la plupart des tables de son temps. Elle bénéficiait des vergers, des potagers, des vignobles, des élevages d'animaux de basse-cour et de bétail que le souverain avait fait installer non loin de ses divers domaines. Les produits de la chasse et de la pêche la complétaient avantageusement. L'auteur s'est donc évertué à inventorier les pratiques et les usages culinaires de ce temps, période située entre la fin du Moyen Age et les débuts de la renaissance. A la fois livre de cuisine et petit traité ethnographique, cet ouvrage contient de nombreuses recettes originales surprenantes voire improbables, mais reste avant toute un livre pratique et utile.

Ce mesnagier nous raconte les traditions anciennes du jardin des simples, du potager et du verger, de l'office et de la table, de la manière de vivre avec les enfants et de se garder en bonne santé.

Les recettes évoquent des temps où l'on avait, simplement, le goût des produits dans son assiette, relevés sans excès par les herbes du jardin ou les épices. Ecrites en vieux français (mais traduites pour bien les comprendre) et magnifiquement enluminées !

De nombreuses recettes, un panorama des goûts et usages pratiqués dans la cuisine médiévale.

Du goût des viandes au parfum des épices, de la permanence du règne de l'aigre doux et de l'acidulé en passant par les méthodes de cuisson et de préparation, un petit livre qui met l'eau à la bouche.

Surcots, poulaines, gambisons, peliçons, cottes de mailles, hennins...

Des explications claires, des patrons très simples, un peu d'histoire pour ce petit livre sans prétentions.

Concentré sur le XVIe siècle, un livre très complet et appuyé sur des bases historiques solides. Les patrons ne sont pas aussi nombreux que dans d'autres ouvrages mais sont très détaillés et l'ensemble est très bien illustré.